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[Test/Avis] Tekken 7

Une dizaine de jours après le platine de Prey (et le test qui a suivi), j’ai récidivé avec le platine de Tekken 7. Je vous rassure tout de suite, je ne suis pas là pour souffrir ok vous raconter ma vie de gamer mais bien pour mon test de T7. #RoadTo60

C’est donc le 2 juin dernier qu’est sorti le dernier jeu du King of Iron Fist Tournament sur PlayStation 4, Xbox One et PC Windows. Huit ans qu’on attendait la suite de la saga des Mishima (je ne compte pas Tekken Tag Tournament 2 sorti en 2012 et non canonique)… Ou qu’on attendait simplement de se mettre sur la gueule avec l’une des licences phares de Bandai Namco. C’est parti.

The King of Welcome and Farewell ?

Je mets les pieds dans le plat direct, Tekken 7 a fait le pari de rajouter énormément de nouveaux personnages. 9+1 pour être exact. Certains apportent de la nouveauté, d’autres reprennent certains moves de combattants disparus, mais dans l’ensemble, il y a de quoi se régaler.
En plus des personnages qu’on ne présente plus et présent depuis le premier Tekken jusqu’au 6, nous avons droit ici à un exorciste italien plutôt beau gosse, Claudio, un super soldat dans une armure imposante, Gigas, une jeune philippine pratiquant le kickboxing, Josie, qu’on peut considérer comme une remplaçante du veillissant Bruce Irvin (tu me manqueras mec). Ça ne s’arrête pas là, vous pourrez aussi compter sur Katarina, la brésilienne experte en savate (cocorico), Kazumi Mishima (femme de), Lucky Chloe, l’occidentale fan des idols et se battant en rythme (Hatsune qui?), Master Raven (supérieure de), et première femme noire du jeu (ce n’est pas moi qui le dit) et enfin Shaheen, le garde du corps saoudien et premier personnage arabe de la franchise. Enfin on n’oubliera pas la présence d’Akuma en guest, issu de la série Street Fighter, sans doute seul survivant de l’arlésienne Tekken x Street Fighter. Ça en fait 9 auxquels on ajoute Eliza, vampire disponible seulement via les précommandes.

Là on a un nouveau personnage… Et un bug marrant

Malheureusement ce lot de nouveautés emmène avec lui quelques disparitions plus ou moins regrettables. Exit Armor King, qui faisait sans doute doublon avec King. Bye bye l’élégant Baek Doo San, mentor de Hwoarang, qui faisait là aussi doublon avec son Taek Kwon Do, même si ce n’était pas vraiment le même style. J’en parlais plus haut, Bruce Irvin a laissé sa place à la petite Josie Rizal (pour mon plus grand malheur et bonheur, j’apprécie les deux combattants). Bye bye Christie (Eddy est toujours là lui), adieu Craig Marduk (faut croire qu’il ne faisait pas le poids face à Gigas). Pour autant, les plus gros crèves-cœurs concernent des personnages historiques dont l’absence me paraît encore incompréhensible, surtout Lei Wulong (tristesse infinie) mais aussi Julia Chang (qui remplaçait maman Michelle) et Anna Williams, sœur de. Ah ! Et vous ne pourrez plus vous rincer l’oeil sur Zafina, sa mission s’étant finie dans le précédent jeu canon, nul doute qu’elle n’avait plus d’utilité ici.

Bordel, c’est compliqué d’écrire sur un jeu de combat, je parle de quoi maintenant ?

The King of Foam Fist Scenario

Après le (vrai) scénario disponible via le mode Tekken Force et ses dérivés entre Tekken 3 et 6, Bandai Namco nous pond un « vrai » scénario nous contant les origines de la haine sans borne de Kazuya pour son père Heihachi. Toute l’histoire nous est racontée par un personnage non-combattant, un journaliste ayant perdu sa famille dans le conflit mondial opposant la G-Corporation à la Mishima Zaibatsu (MZ). Après un rapide flashback plus ou moins jubilatoire, l’histoire reprend directement après les événements de Tekken 6 et la disparition de Jin. Au menu ? Prise de contrôle de la MZ par Heihachi en l’absence de Jin, sauvetage de ce dernier par ce bon vieux Lars (fils de lui aussi) ou encore combat entre un père et son fils pour la énième… et dernière fois ? Le tout est entrecoupé de beaucoup de blabla, en général avec des illustrations fixes de toute beauté, de quelques cinématiques, quasiment sans transition avec les combats, ce qui est du plus bel effet et d’un ou deux flashbacks. L’occasion d’ailleurs d’introduire Akuma et Kasumi Mishima dans la timeline un peu bordélique de Tekken. Bon, le tout ne casse pas trois pattes à un canard (j’ai déjà écrit ça récemment…) mais a le mérite d’exister et de proposer autre chose qu’un « bête » mode arcade ayant une cinématique de début, une de fin et bisou ton histoire. Ce n’est pas fameux, ça ne se fait qu’une fois et c’est à réserver seulement aux fans et aux chasseurs de platine.

Avouez que vous avez rêvé de jouer cette scène (à gauche)

À côté. Pour ceux qui ne sont pas fans des Mishima (quel dommage), on a aussi le droit à des scénarios pour tous les autres personnages qui ne sont pas intervenus dans le mode histoire. Bon ça se résume à un paragraphe ridicule et à un combat facile. Rien de fou. Dommage, j’en attendais plus… Mais la vérité et le fun de Tekken n’est pas ici, il est dans la BAGARRE !

Histoire Principale à gauche, Histoire des Personnages à droite.

Get Ready for the Next Battle

Pour information, j’ai testé le jeu sur PlayStation 4.
Depuis mes premiers pas sur Tekken, les touches n’ont pas changé pour mon plus grand bonheur (et celui des fans). On se déplace toujours en trois dimensions sur plusieurs plans, les touches carré et triangle sont toujours allouées aux poings, croix et rond aux pieds (sauf pour l’ami Steve Fox). Les combinaisons des deux poings ou des deux pieds permettent toujours d’effectuer des projections quasiment incontrables, parfait pour casser une défense sans faille de votre adversaire, IA comme humain. Le juggle est lui aussi toujours là (envoi de son adversaire dans les airs pour pouvoir l’enchaîner sans qu’il puisse se protéger) et des nouveautés sont apparues dans cet opus :
Le Tailspin qui permet d’effectuer un juggle spécial qui fera rebondir l’adversaire sur le dos, afin que l’on puisse lui asséner un combo dévastateur ;
Le Rage Art qui vous permettra d’effectuer un coup spécial une seule fois lorsque votre barre de vie clignote (en fin de vie). Chaque personnage a une combinaison unique pour le déclencher, mais vous pouvez aussi tout simplement appuyer sur R1 pour le lancer. Ce coup est alors mis en scène et inflige d’énormes dégâts qui peuvent vous faire gagner un match sur le fil (les fameux GREAT). Attention cependant, ce coup n’est pas imparable (facilement bloqué par une garde) et le rater vous fera sans doute perdre le match… Attendez-vous à un Mind Game dramatique online ;
Le Rage Drive, qui comme le Rage Art peut se déclencher dès que notre combattant est en fin de vie. Pas de raccourci ici, il vous faudra faire la combinaison adéquate. Une fois celle-ci réussie, votre personnage sera entouré d’un halo bleu et accomplira une action non disponible autrement permettant d’envoyer un adversaire dans le mur, au sol ou pour prolonger un 10-hit combo. À réserver aux joueurs chevronnés. Bien sûr, comme le Rage Art, le Rage Drive n’est pas imparable non plus ;
– Enfin le Power Crush (PC) est un coup spécial qui ne peut être arrêté que par un coup bas. Dans les autres cas, même si l’adversaire vous porte un coup, il se prendra de plein fouet votre power crush s’il ne vous a pas achevé avant. Chaque combattant a un ou plusieurs PC ayant sa propre combinaison de touches. Le Rage Art a d’ailleurs les mêmes propriétés qu’un PC.

C’est bon, vous êtes prêts pour vous frotter au jeu… Et au monde entier !

The King of Iron Fist Tournament 7

Comme d’habitude dans les vs fighting, on a droit à des modes de jeux en ligne et hors-ligne. Commençons par le premier.

Ling est toujours là

En ligne, vous pourrez participer à des combats en matchmaking de classement, afin de monter le rang de votre personnage (de Beginner à la 100e dan (True Tekken God)) en combattant une personne de votre niveau ou au-dessus (selon vos paramètres de recherche). Une fois votre personnage choisi, vous atterrirez dans une salle d’attente semblable au mode entraînement jusqu’à ce que quelqu’un soit disponible. Le combat se lance alors, après l’avoir accepté, et se fera au meilleur des 5 rounds (le premier à 3 gagne). Si c’est un combat de promotion, cela sera indiqué, vous monterez alors en rang. Attention cependant, si vous enchaînez les défaites, vous devrez alors faire face à un combat de rétrogradation, parfait pour miner votre moral. À noter que vous pourrez accepter/proposer plusieurs revanches si vous le souhaitez à la fin du combat et si votre adversaire l’accepte.

Vous pourrez aussi faire des combats en matchmaking d’amis, qui consistera à créer un lobby pour inviter vos amis et qui pourra être rejoint par des joueurs que vous ne connaissez pas si vous ne le privatisez pas. Dans ce mode, vous ne monterez pas en rang mais vous aurez l’occasion, je l’espère, de montrer votre supériorité à tous vos amis. Là aussi les combats se jouent au meilleur des 5 rounds.

Le menu principal est très… épuré…

Enfin, vous pourrez rejoindre ou organiser des tournois (de 8 joueurs maximum) à élimination directe ou double élimination directe. Dans le premier cas, une fois que vous aurez perdu, le tournoi sera fini pour vous. Dans le second, vous basculerez dans le tableau des perdants à la moindre défaite, ce qui vous permettra d’atteindre la finale… Si vous ne perdez pas une deuxième fois. Notez que si le finaliste issu du tableau principal perd la Grande Finale, elle sera rejouée (normal me direz vous). Une fois le tournoi fini, des récompenses seront attribuées à tous les participants restants (enfin ceux ayant fini 5e ou au-dessus), selon leur classement : monnaie du jeu + des coffres de personnalisations (je parlerai de ces derniers plus loin). Malheureusement, si les perdants abandonnent le tournoi prématurément, les gains seront moindres (vraiment dommage), pire, si l’organisateur décide de s’en aller, le tournoi sera tout simplement annulé. Donc même si vous perdez piteusement, restez au moins pour vos récompenses. Surtout que vous pourrez regarder les autres combats en attendant la fin, sympa pour voir d’autres styles de jeu et parfaire vos techniques et contres.

Précision : vous n’aurez que 15 secondes pour choisir votre côté et votre personnage. C’est tout pour les modes en ligne.

Tableau et résultats de tournoi en ligne

Pour ce qui est des mode hors-ligne, on a là aussi du classique :
un mode Arcade en 5 matchs (de 1 à 3 rounds gagnants selon vos choix dans les options) avec des matchs 4 et 5 spéciaux. Le dernier sera d’ailleurs au moins en 2 rounds même si vous avez choisi un seul gagnant. Ce mode n’apporte pas grand-chose et est juste un classique des VS Fighting ;
un mode Versus dans lequel vous pourrez vous battre contre vos amis/votre moitié/vos petits frères et sœurs/vos parents/le facteur/votre patronne (rayez la mention inutile) ;
un mode « Combat au Trésor » équivalent à un mode Survival, dans le fait que vous enchaînerez les combats jusqu’à en avoir marre. Tous les combats sont en 2 rounds gagnants et à chaque fin de combat vous obtiendrez des G (la monnaie du jeu) selon les coups portés ainsi qu’un ou plusieurs coffres (jusqu’à 3). Vous aurez d’ailleurs un coffre supplémentaire en cas de PERFECT/GREAT et obligatoirement 2 coffres à chaque pallier de 10 victoires (si vous gagnez bien entendu). Les combattants en face de vous auront un niveau plus élevé qu’en arcade selon leur classement et c’est l’autre mode hors-ligne vous permettant de monter en grade (avec le mode arcade). Lorsque vous enchaînerez les victoires, des combats spéciaux s’enclencheront. Certains seront en mode turbo (vous avez compris), d’autres verront les dégâts infligés et reçus doublés, d’autres encore ne comptabiliseront que les dégâts de combos aériens et enfin il y aura aussi des matchs spéciaux contre les personnages emblématiques du jeu (Kasumi, Heihachi, Devil Kazuya, Jin et Akuma) qui seront beaucoup plus durs que les autres (mais avec des supers récompenses). J’oubliais les « combats de braquage » qui vous permettront de gagner une partie de l’équipement de l’adversaire si vous les gagnez (cheveux arc-en-ciel, tenue par défaut plus colorée). Tous les coffres ne se valent pas et auront des objets et autres effets plus intéressants selon leur type : en bois, en bronze (les coffres rouges), en argent, en or et les coffres arc-en-ciel (j’ai pas mieux pour les décrire) ;

à moi les coffres en or \o/
feuille de résultat des G gagnés après chaque combat
Les fameux screens des matchs spéciaux, classes n’est-ce pas? (en bas à droite c’est celui du 5e match du mode arcade)

– Et enfin un mode Entraînement avec accès à la liste de coups du personnage sélectionné et différentes options pour votre « punching ball » (debout, accroupi, en garde, contrôlé par l’IA). Le mode parfait pour s’exercer et apprendre les combos les plus dévastateurs.

The King of Customization

Vous êtes sans doute déjà au courant, mais depuis Tekken 5, Bandai Namco met à votre disposition un mode personnalisation des personnages vous permettant de créer votre propre vision de votre combattant préféré.

Ce Tekken 7 n’est donc pas en reste à ce niveau vu qu’il propose pour chaque personnage, plusieurs objets et vêtements de personnalisations dont vous pourrez aussi changer la couleur (dans la majorité des cas). Au menu, des couvre-chefs, des coupes de cheveux, des vêtements (divisés et haut/bas du corps), des lunettes, des effets de coups ou encore des objets à tenir, certains pouvant d’ailleurs être utilisé en combat via une combinaison de touches. La majorité de tous ces objets seront achetables via la monnaie du jeu (les G) mais certains vous demanderont de gagner des combats dans le mode Combat au Trésor ou de finir des Tournois en Ligne afin d’acquérir des coffres, en espérant que ceux-ci contiennent l’objet recherché. À noter qu’au bout de 2000 combats joués (gagnés ou perdus), tous les éléments de personnalisation seront débloqués automatiquement… Si vous n’avez pas tout gagné d’ici là.

Oui c’est bien Paul Phoenix

Cette personnalisation ne s’arrête pas là : vous pourrez aussi, toujours dans le même mode, choisir l’image qui apparaîtra juste avant le combat parmi lesquels quelques anciens avatars des Tekken précédents mais aussi des créations originales d’artistes japonais célèbres dans le milieu du JV, de l’animation ou de l’illustration comme Yamashita Shunya et son style pin-up de personnages pré-existants (héroïnes Marvel et DC) ou non, (je ne vous cacherai pas que je suis un très grand fan de son style très doux et coloré). Ce n’est d’ailleurs pas sa première participation à la franchise.

Oui c’est bien Asuka (Création originale de Pitchyu)
C’est Jin ou Son Gokû ça?

Dans un mode attenant, vous pourrez aussi modifier votre « Gamer Card » ainsi que quelques autres éléments, très important pour frimer en ligne et afficher vos couleurs. Il vous sera alors possible de changer votre plaque (sur laquelle apparaîtra votre pseudo, vos nombres de victoires avec le combattant sélectionné ainsi que vos 10 derniers résultats en tournoi, en matchmaking de classement ou en matchmaking d’amis), choisir une phrase d’accroche ou un qualificatif (j’ai personnellement mis « t’es pas mauvais », qui remplace le « Tekken 7 » affiché par défaut), changer la plaque sur laquelle ces mots apparaissent et même choisir une barre de PV à votre goût (seulement visible sur votre écran). Tout comme la personnalisation de personnages, certaines de ces options pourront s’acheter via la monnaie du jeu mais la majorité vous demanderont certaines actions pour pouvoir être débloqués et utilisables (participer à 10 tournois, atteindre tel rang, gagner 50 fois avec Katarina, etc.)

La customisation à son maximum

Voilà, ce soir vous serez la plus belle (ou le plus beau), pour aller danser casser des bouches !

The King of Beautiful

Je pourrai vous parler longuement de la beauté du jeu, de ses couleurs et des effets de lumière lorsqu’on met des coups (et qu’on se les prend, c’est le jeu ma pauvre Lucette). Je pourrais aussi en dire énormément sur les différentes arènes (au nombre de 21 si je ne dis pas de bêtises) dont certains ont des murs destructibles… Ou le sol.

La lumière est de toute beauté

Je pourrai aussi m’éterniser sur la bande-son qui, même si elle n’a rien d’exceptionnelle, selon moi, a le mérite de mettre dans l’ambiance des combats… Bon j’avoue gigoter sur mon canapé sur certains morceaux, qui donnent majoritairement dans l’électro et le rock.

Je pourrai aussi vous parler du Jukebox vous permettant de réécouter les musiques des précédents Tekken, de les affecter à la place de celles de Tekken 7 dans votre jeu ou même de carrément créer une ou plusieurs playlist selon votre humeur.

Enfin, je pourrai m’extasier sur la Galerie, mode donnant accès à toutes les cinématiques des jeux Tekken, du premier au septième, les 2 Tag inclus, avec même quelques bonus. J’avoue d’ailleurs avoir passé de longues heures à revoir certaines cinématiques qui m’avaient marqué plus jeune. Bon il faudra quand même passer à la caisse (avec des G, je vous rassure), pour pouvoir visionner tout ça, en plus des différentes illustrations que le jeu contient.

Le Jukebox & la Galerie (oui oui c’est Law du premier Tekken à droite)

J’oubliais, le menu « informations du joueur » vous donnant le nombre d’heures passées sur Tekken 7, le nombre de combats, vos ratios de victoires dans les différents modes, en ligne comme hors-ligne, le nombre de tournois gagnés, et même des statistiques par combattant ainsi que votre meilleur rang. La beauté des statistiques quoi.

King of Kings ?

Don Omar likes this.
Ce Tekken 7 est bon, très bon. Comme ses prédécesseurs, il sait se montrer immédiatement accessible aux néophytes et joueurs occasionnels (comme moi), plus que d’autres références du genre (Street Fighter en tête) mais il sait aussi faire la part belle aux joueurs plus expérimentés qui recherchent un challenge ou ceux qui tentent de se forger un niveau correct dans un vs fighting (encore comme moi). C’est un pur régal.
À côté de ça, le jeu, en plus d’être beau et bien réalisé, met enfin un point final à l’antagonisme entre Heihachi et Kazuya, rivalité meurtrière courant depuis le premier jeu du nom, tout en nous révélant les raisons de cet affrontement, sans pour autant clore la saga Tekken. Quand vous aurez fait le mode histoire dans sa totalité, vous comprendrez de vous même.
Enfin, la part belle faite à la personnalisation dans ce jeu apporte une touche particulière et très personnelle à notre façon de combattre. Bref un mélange parfait qui vous occupera de longues heures, jusqu’à devenir le King of Iron Fist !

Les Plus :
– L’accessibilité, sans doute le plus accessible de sa catégorie
– La personnalisation
– Le choix des combattants
– La Chasse au coffre (oui oui)
– Le système (gratifiant) de rang toujours présent

Les Moins :
– Kasumi est overcheatée en arcade
– Law et Dragunov sont imbuvables en ligne (enfin surtout Dragunov, enfin c’est surtout mon ressenti personnel)
– Les tournois annulés car l’organisateur rage-quit
– L’achat de nouvelles manettes (seulement pour les joueurs énervés)

Jouabilité : ★★★★★ Tekken fait du Tekken, c’est facile à prendre en main et c’est exigeant pour les joueurs sérieux. Parfait quoi.
Réalisation : ★★★★★ Rien à dire sur la réalisation qui est de toute beauté. Les seuls lag seront à cause de votre mauvaise connexion ou de celle de votre adversaire en ligne.
Musique et Son : ★★★★☆ J’ai rarement eu autant l’impression de me prendre des coups de pieds dans la bouche. Mon dentiste est déjà prévenu.
Difficulté : Peut-on vraiment parler de difficulté dans un jeu de combat ?
Durée de Vie : ★★★★★ Infinie, que ce soit en solo, avec des potes ou contre le monde entier. Je vais quand même pas mettre une seule étoile parce que le mode histoire est pliée en 3 heures maximum.
Ce jeu a été testé grâce à une version PS4 gracieusement fournie par l’éditeur, merci Claudia !

Bonus : Je vous laisse avec tout le mode histoire en vidéo (vous pourrez m’entendre rager un peu d’ailleurs) et avec mon PSN si vous voulez vous la donnez sur Tekken 7 PS4 avec moi : Liryc-Sama

Spéciale dédicace à Mehdi et Axel, mes partenaires de combats réguliers ainsi qu’à la douce Pitchyu… Pas si douce quand il s’agit d’affirmer sa suprématie familiale sur Tekken.

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